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Mourrir la gueule ouverte.

26 juin 2008

L'sourir au lèvres

On est trop jeune pour avoir connu ça :

Ivan Mládek - Jožin z bažin

Et c'est tant mieux, je pourrai dormir tranquille...

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26 juin 2008

Parfois, on aimerais devenir quelqu'un.

marine2On s'imagine une vie de reve. On repense au vecu. Ces gens qui défille dans les rues et toi qui reste planté la comme un con a ne savoir que faire. On les regarde faire leur vie et on les observe sans rien dire. Ces six milliards de personne sur cette planete vont et viennent devant nous. On repense a notre enfance, a nos periode d'insouciance. On ne connaissait pas la haine ni la violence. Et plus on grandit plus on s'appercoit que le monde est con. Et plus on vieillit, plus on le devien. Mais on s'en fout. On n'a pas envie de changer les choses, puisque l'on croit etre le seul a le vouloir. On préfere se bourrer la gueule et fumer. On a nos idoles, car pour nous ces gens la sorte de l'ordinaire. Mais en fait, elles sont comme nous, elles ont leur reve et elles les ont simplement accomplit.. En partie. Quand on réfléchit bien, on est fou. Les adolescents sont des cons qui en prennent conscience, et les adultes l'ont simplement adherés. On continu a vivre malgré tout, et on y pense plus. On ne cherche plus a comprendre les choses, puisqu'elles sont comme ca. On vie de consommation, et ceux qui disent le contraire sont bien obligé de l'admettre. Toutes choses ont une fin, quelles soient bonnes ou mauvaises. On consomme notre vie. Et la nature de meme. Malgré que les gens défillent devant toi, certaines restent marqué dans ta mémoire. Elles ont parfois une importance étrange pour toi. Un attachement envers un quelqu'un. Quand on parle des autres, c'est parce que l'on croit quelle est plus importante que toi. Et puis notre vie se résume aux autres, parce qu'ils font partie de toi. On ne les suit pas comme des moutons de panurge pour autant. Et les autres parle de nous. Parfois, on aimerais devenir quelqu'un, mais en fait, on est quelqu'un pour les autres.

24 juin 2008

Pantin t'as marre

Dans une nouvelle nuit d'été. Chaleur bouffante. Ciel silencieux. Vent éteint. Tuer moi si j'ai encore envie de jouer au Chaperon Rouge. Si j'ai envi de me remettre dans la gueule du loup. En fait, non. Ne faite rien. J'veux vivre. Et t'en pis si je souffre. J'ai trop d'amour a donner parait il. Mais on sait toujours pas quoi faire de ma connerie... Y'a comme de l'air dans mes yeux. Ca pique. Du remue ménage dans ma tête. C'est décidé. Je sais pas encore quoi. Oui, je sais. Je vis. Et peut importe si vous m'suivez. En fait si, suivez moi. Mais pas trop. Sauf toi. J'veux sentir tes cheveux devenu court. J'veux m'ouvrir à toi. Quite a ce que tu ne piges rien. T'as l'décodeur? L'est pas encore au point. Et alors? J'veux être prêt de ce feu qu'on s'était promis. T'parler de tout comme de rien. Et qu'tu vois a quel point c'est un beau bordel. J'veux savoir. T'apprendre par coeur. Mon essentiel, mon essence même. Tu m'perdras pas même si j'suis pas toujours d'humeur. Ma soeur. J'veux te parler de lui, te parler d'eux. T'écouter rire a gorges ouverte et m'dire que t'a fait une gaffe. Encore une. 4 jours sans toi.. Et encore 3 qui doivent passer. Allez quoi, grouille. Ta tête sur mes jambes. Ma main dans tes cheveux. Tes mots qui m'inonde de sentiments. Voila. Tu m'as rendu mes sentiments. T'es trop belle pour être réelle. Non? Le ciel est de moins en moins obscur et je ne me suis toujours pas couché. Les oiseaux chantent. Les lampadaires sont toujours allumés. Ils ne faut pas les confondre avec les étoiles. Ce ne sont que des artifices. Mais toi, t'en es pas un. Juré? Tu m'rend l'sourir. Et puis, comme si y'avait pas qu'toi. J'regarde autour. Et j'vois. Pour ne pas dire j'le voit. J'me suis p'tet embarqué dans un mauvais truc. Encore. Mais au lieu de changer tout. Laissons couler. On finira par voir si la source est infectée. C'est une histoire de compatibilité, vous comprenez?

[ I'm no Superman ... ]             Recommencement..

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Mourrir la gueule ouverte.
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